Selon Wikipédia, « La précarité menstruelle est la difficulté ou manque d'accès des personnes réglées aux protections hygiéniques par pauvreté. Dans le monde, jusqu'à 500 millions de personnes vivent dans la précarité menstruelle » En France, elle touche 1.7 millions de personnes selon un sondage réalisé en 2017 par la BBC. De plus, « La précarité menstruelle a notamment pour origine le coût des produits hygiéniques qui rend leur accès difficile et a pour principale conséquence l’exclusion des personnes réglées, dont le décrochage scolaire ». On estime qu’une femme a 500 fois ses règles dans sa vie. Pour cela, elle dépense en moyenne 1750 euros par an pour des protections hygiéniques, la pilule contraceptive et les médicaments anti-douleurs, selon le même sondage de la BBC en 2017.
Selon Wikipédia, « La précarité menstruelle est la difficulté ou manque d'accès des réglées aux protections hygiéniques par pauvreté. Dans le monde, jusqu'à 500 millions de personnes vivent dans la précarité » En France, elle touche 1.7 millions de personnes selon un sondage réalisé en 2017 par la BBC. De plus, « La précarité menstruelle a notamment pour origine le coût des produits hygiéniques qui rend leur accès difficile et a pour principale conséquence l’exclusion des personnes réglées, dont le décrochage scolaire ». On estime qu’une femme a 500 fois ses règles dans sa vie. Pour cela, elle dépense en moyenne 1750 euros par an pour des protections hygiéniques, la pilule contraceptive et les médicaments anti-douleurs, selon le même sondage de la BBC en 2017.
" Je devais choisir entre m'acheter des protections hygiéniques ou manger. "
Axelle, femme SDF depuis deux ans, parle de la précarité menstruelle dont elle est victime. Nous voulons venir en aide aux personnes dans la même situation.
#MyBlood a pour but d’aider les femmes à continuer de mener une vie normale sans être handicapées par leur difficulté d’accès aux protections hygiéniques. Comme nous le savons, beaucoup de femmes ne peuvent pas se rendre au travail, à l’école et pratiquer un sport à cause de la précarité menstruelle. De plus, nous voulons briser les tabous : le sujet des règles doit être abordé et débattu librement, sans honte ni crainte.